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Voiles mylar
Dans la série, je ne regrette pas d'avoir voter contre, notre deuxième manche des Pieds Gelés ; une petite claque négociée trop délicatement de ma part un petit coup de lof et un léger choqué alors qu'il aurait fallut lacher l'écoute et mettre la barre en travers pour rester sur l'eau et voilà mon équipière un pied sur la bôme et l'autre sur la voile, malgré la faible force d'impact de ses 50 kgs cela a suffit pour exploser le laize . La crise de la voile légère semble être en passe de se résoudre, du moins pour les voiliers !!
Bruno
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Nous disons donc: impact de 50 kg sur la voile; comme je note par ailleurs qu'elle avait également un pied sur la bome, est-ce à dire qu'elle frise les 100 Kgs? Et bien, sincèrement, Dominique, tu ne les fais vraiment pas.
Autre expérience pour ma première sortie en voiles kevlar... Il vaut mieux prévoir 10 sec. de plus que d'hab' pour l'affalage du spi, histoire que l'équipier ai le temps de positionner précautionneusement son tangon bien parallèle à la voile et de le rentrer délicatement sur les premiers centimètres... Sinon l'endroit à renforcer sur la voile est vite repéré par un beau trou !
Et sinon, les résultats de ces pieds gelés, musclés je suppose ???
Salut Bruno,
Désolé de te dire ça, mais ça me rassure de voir que ce genre de mésaventure arrive aussi à d'autres...
Nous c'était au Val André, tu te rappelle?
Tim m'a dit que c'est aussi une des raisons pour laquelle il a recherché un nouveau tissu car apparemment, son nouveau serait moins fragile.
Par contre, pour blaguer un peu et attirer quelques remarques de lecteurs aguéris, il ne faut pas intégrer que le poids de l'équipier: la vitesse de la chute est importante aussi.
Il faut savoir si on considère l'énergie cinétique(la masse/2 x la vitesse au carré)ou la quantité de mouvement (la masse x la vitesse.
Bon, OK, je suis fatigué...
Jean-Yves Renon
Tiens, je suis en train de remarquer qu'on est quelques-uns à ne pas être motivés par le boulot ce lundi matin...
C'est curieux, j'ai l'impression que les prévisions météo ont fait redouter une édition apocalyptique; en fait, les plus grosses rafales n'ont pas du dépassé force 3 ; c'est plutôt la brutalité des variations tant en force qu'en direction qui a causé quelques dessalages . En tout cas, la révélation de l'épreuve : l'équipage Coquerel-Taveira 4ième de l'épreuve.Victor avait décrété dés le départ qu'il ne sortirait pas au trapéze(barreur jusqu'au bout des ongles!!) et ça l'a fait sans problème !
Bruno
Tu sais ce qu'il te dit, Jean-Yves, le lecteur (a)guéris: pas encore, mais il se soigne.
Par contre, le lecteur AGUERRI remarque que tu as omis de citer l'énergie potentielle.
La chute de l'équipier étant plus ou moins verticale, dans le cas qui nous intéresse, nous ne nous étendrons pas sur la force centrifuge.
Si, au boulot, il n'y avait que le lundi matin que la motivation faisait défaut !!
dans la série, j'ai du temps, il faut aussi prendre en compte la force de coriolis que dépend de la vitesse de l'objet....
Et la force centripète ???
Dominique un commentaire à ce sujet :-)
(désolé je n'ai pas pu me retenir...)
Ludo, il faut bien lire la discussion avant de répondre, on a dit plus haut que la chute de l'équipier était PLUS OU MOINS VERTICALE.